Le hareng

En bref

Le hareng est un poisson grégaire qui évolue en banc.

Il existe plusieurs petites populations côtières, notamment en Manche orientale.

Quels sont les impacts sur cette espèce

Phase de construction : IMPACT FAIBLE À MOYEN

• Les harengs ont une partie de leurs larges zones de frayères en Manche concernées par la zone de projet, néanmoins les surfaces modifiées ou perdues ne représentent que 0,55 % de la surface de la zone du parc en phases travaux.
• La résilience des stocks est donc forte, car l’effet à leur niveau est considéré comme temporaire.
• L’augmentation de la turbidité due aux travaux sera temporaire et limitée aux abords des opérations.
• Lors des opérations bruyantes, les effets seront ressentis aux abords des opérations et très limités dans l’espace. Les travaux pourront induire des changements de trajectoire lors des migrations fonctionnelles entre la côte et le large, sans pour autant empêcher ces migrations ni affecter la survie des espèces.
• Lors des opérations bruyantes, les effets seront ressentis aux abords des opérations et très limités dans l’espace. Il est probable qu’on observe un évitement de la zone. Le niveau d’impact lié au battage de pieux est qualifié par précaution de moyen.

Phase d'Exploitation : IMPACT POSITIF à FAIBLE

• Les faibles surfaces modifiées au sol conduiront certainement à un impact nul sur les populations de harengs.
• Les harengs verront en effet leurs habitats peu modifiés, permettant un maintien des populations.